Construire et utiliser le testeur Foucault “notamment Texereau”

A QUA SERT IL UN TESTEUR DE FOUCAULT:

Pour ceux qui ne le connaissent pas encore; Il sert à appliquer le test Foucault sur une surface optique, Parabolique, réfléchissant, en construction, pour en déduire les corrections à mettre en œuvre afin de l'amener à une excellente qualité.

Etant donné que dans un miroir parabolique, le rayon de courbure de la surface augmente constamment du centre vers le bord, le test est appliqué sur un tel miroir en construction, théoriquement divisée par un masque “de Couder” en anneaux concentriques, dont “ses zones” l'on mesure le rayon de courbure, pour contrôler et appliquer des corrections ultérieures, de sorte que la progression des rayons résultants, soit possiblement identiques aux rayons appartiennant à une parfaite parabole théorique, prise comme référence constructive. Cela signifierait construire une optique techniquement parfaite.

Les résultats des calculs générés par les mesures effectuées avec le test de Foucault, fournissent dans la pratique un graphique qui est l'image mathématiques de la courbe obtenue. Ce qui est, (toujours mathématiquement) réellement “superposé” à la parabole de référence, avec une zone de contact commune avec une quelconque des zones prises en considération,  pour juger le positionnement relatif résultant des autres zones, et les corrections à appliquer.

D'autres zones peuvent en effet être trop « élevé », (et donc bien grattable avec l'abrasion pour les réduire); ou déjà ok, (pas da toucher); ou trop «baisse », (où il a déjà dépassé la valeur de l'excavation souhaitable, pour donc les corriger en les «elever», Il doit être abaissé toutes les autres zones; Ou prendre comme point de contact commun, un autre zone plus pratique.

Sur la base de l'évaluation de ce graphique, l'opérateur décide de temps à autre, quel est le type de correction à appliquer. Et de cette façon, en procédant de correction en correction, et de test en test d'essai, le processus se conclut par la création d'un miroir techniquement parfait.

Cette perfection est seulement une question de patience et de temps, due au fait que “n” corrections affectent toujours une couche infinitésimale de millionièmes de millimètre d'épaisseur de verre de surface, telle qui ne préjuge jamais le travail précédent de façon irréversible . Qu'en est-il du temps, qui vien d'être aussi commesurè a l'expérience et les astuces de l'opérateur, qu'il a pour un passionné amateur un coût égal à zéro.

LE PRINCIPE SCIENTIFIQUE

sur lequel est basé le test Foucault est homologue à celle de la “Test étoiles” (par exemple utilisé dans le film de la construction du 400F6 presente dans ce blog, du quel est très prise cette bref explication par John Dobson, de la durée de 3 minutes).

La différence par rapport à l'épreuve étoile, est que le test Foucault est quantitative, cela vous indique où se trouve exactement l'erreur, et de quelle profondeur il est; Alors que le test des étoiles est seul grossièrement qualitatif, comme il est le test de Ronchi. Capable-à-montrer seulement ou se trouve l'erreur, mais, il ne peut pas fournir des caractéristiques quantitatives précises utiles au projet d'une efficace correction.

L'homologie entre le test d'étoile et le test de Foucault est que dans l'optique , l'image d'une source de lumière (comme une étoile) placé à l'infinì, se forme à la distance focale du miroir parabolique.

Alors que l'image d'une source lumineuse placée au centre de courbure de la surface réfléchissante (qui est le double de la distance focale), se formerait sur lui-même, et donc il serait impossible de la utiliser comme guide pour la construction d'une optique, sauf déplacer la source d'un petit angle pour permettre de voir l'image à une distance minimale à cotè de la source, comme c'est le cas avec ce type de testeur de Foucault.

John Dobson était un grand minimaliste, que, dans sa vie, il a toujours voulu demonstrer que la construction d'un télescope est très facile et abordable pour tout le monde, comme il serait en effet un test d'étoile qui ne nécessite d'aucun instrument, sauf l'œil humain, cependant, conscient et bien entraînè.

Le système inventé par Foucault est aussi’ un méthode maison, mais il nécessite de l'outil testeur, et d' un autre type d'oeil, aidé à trouver la correction d'une erreur à partir des données quantitatives fournies par le test.

Le test de Foucault nécessite un son type d'entraînement qui n'est pas difficile, et le fait qu'il s'agit d'un test quantitatif et pas seulement qualitatif, il le rend moins grossier et potentiellement porteur d'une optique de meilleure qualité.

A tous nous est donc le choix de la méthode la plus adapte: Star test ou Foucault.

TYPE DU TESTEUR ET LIMITES TECHNIQUE DU MÊME TEST

Il existe une infinité de façons de construire un testeur Foucault, et il est utilisable pour l'évaluation constructive d'un miroir parabolique potentiellement de quelconque diamètre, mais tutefois qu'il soit pas inférieur a une distance focale de F5.

DANS CES CAS IL EST’ DECONSEILLE L' ESSAI DE FOUCAULT:

1 ) le test Foucault est deconseillè sur les miroirs avec un rapport de focale plus courte de F5 et de diamètre a monter du 300mm, car il fournit de moins en moins de données correctes, a créer des miroirs de mauvaise qualitéla, qui sortira meurtri par exemple, d'un test de qualité comme le test de Roddier. Test toutefois pas applicable comme guide au cours du traitement d'un miroir, mais applicable seulement sur un télescope complet.

La précision inférieure est due au fait, que le principe de base du test Foucault établit que les couronne circulaires (appelées zones ) d'un miroir parabolique, reflétent l'image exactement sur l'axe optique du miroir même.

Mais cela est vrai seulement pour les objectifs de qualconque diamètre avec longueur focale égale ou supérieure à F5, mais seulement parce que l'écart entre l'axe optique et la réelle position du réfléchie, est tellement minime que dans ces cas va être impossibles à la mesurer, et il est donc parfaitement négligeable.

Alors que, pour les courtes distances focales, la réflexion tombe sur l'axe optique uniquement pour la zone centrale du miroir, tandis que dans les autres zones progressivement de plus en plus périphériques,, la position de réflexion devient de plus en plus trompè, main dans la main avec la réduction du rapport focal en dessous de F5, et avec l'augmentation du diamètre du miroir en construction. Et donc pour ces miroirs comme ça “ouvert”, dont la courbure parabolique est une profonde “bol” très accentué, les reflets des autres zones périphériques de plus en plus importants car ayant des tolérances de plus en plus restreintes, tombent malgré ce , augmentant graduellement la distance de l'axe optique, le long d'une courbure a pavillon de trompette, appelé « courbe de la caustique ».

2 ) En outre, il convient de rappeler que l'emplacement exact di entre de courbure de la zone centrale du miroir, est tres, tres important, parce que ce centre est le point de départ de toutes les mesures sur les zones suivantes, et donc un evenctuel son erreur serait ajouté à toutes les mesures suivantes, y compris l'erreur de la courbe caustique.

En fait, la zone centrale d'un miroir est seulement a l'apparence la zone moins important, parce que, malgré ses tolérances les plus larges, et son rester masquée dans le telescope par l' ombre du miroir secondaire, son centre exact est également très difficile d'identifier avec précision, à cause de la petite déformation presente dans la zone centrale, ce qui fait que la "teinte plate" pendent le test, ne montre que faibles et presque impercettibles changement, malgré pour la chercher, nous déplacions sensiblement de manière longitudinale le chariot du testeur, et avec ça l''obtention d'une mauvaise mesuration.

A ces difficultés, il s'ajoute aussi l'autre plus grande, donnè par la profondeur de ces paráboles très ouverts, qui est incompatible avec un traitement auto-uniformant donnè par les diamètres d'outil égale au diamètre du miroir; et il est donc nécessaire pour eux, d'utiliser des outils de petit diamètre, qui faisand creuser de façon seulement locale, il est tres difficile d'obtenir la courbure de la surface dans la tolérance de qualité «entrée de gamme» de la célèbre très petite 68,75 millionièmes de millimètre d'erreur entre le pic et la vallée, de déviation par rapport à la parabole théorique pris comme référence constructive.

Par conséquent, ces miroirs très ouverts nécessitent l'utilisation de tests plus techniques et différents du Foucault, comme le test Hartmann, ou le test dit de la Caustique, né en 1936 pour réaliser le télescope Hale du mont Palomar, premier grand télescope d'avoir un rapport de focale très courte F3.3, et un diamètre de 5 mètres.

À la lumière de tout ça…  Il devrait suivre, que l'évaluation de l'adoption d'un tel télescope « court », Il doit être faite après un examen. Car en raison des problèmes ci-dessus, aussi dans mon expérience, je connais des propriétaires de miroirs F4, des diamètres supérieurs à 300 mm, ils voient et se plaignent dans leurs tests d'étoiles, d'anneaux brillants dans la tache de diffraction des zones périphériques du miroir, dans lesquelles la courbure du "bol" devient plus raide et plus sensible. Anneaux lumineux qui sont toujours le signe d'une surface réfléchissante parabolique pas uniforme, ce qui pourrait également être dû à une différence momentanée de la température locale du miroir lors de son acclimatation; mais qui en persistand sont un signe de mauvaise exécution, rendu comme ça par l'inévitable utilisation d'outils de petit diamètre.

CARACTÉRISTIQUES DE CE TYPE DE TESTEUR:

Le type de testeur objet du présent, Il est le plus populaire et ancienne, qui présente la source de lumière indépendante et séparée de la lame du couteau avec lequel l'on « coupe » la réflexion du miroir, afin de comprendre s'i nous l'on trouve ou non, dans le centre de courbure de chaque zone réfléchissante à l'examen.

Jean Texereau, Il a présenté ce testeur avec une clair croquis fait de sa main libre, situé dans la figure 54 page 59 de son livre « La construction du télescope d'amateurs », publié en 1939, mais toujours valide et gratuite source d'enseignement pratique pour les “Gratteur de verre” (Telescope Amateur Macking). (http://www.astrosurf.com/texereau/ ).

Je pensais que pour donner l'image de ce même croquis, d'une traduction italienne de légendes écrites sur elle par Texereau même, et d'inserer-la ci-dessous agrandible avec un clic pour lire les sous-titres, et aussi dans la galerie d'images en bas de ce texte, pour donner une meilleure idée du type d'instrument.

Dans la même galerie j'ai mis les images commentèes des pièces constitutives de ma version de ce testeur, « Orthodoxe » à la pensée de Texereau. Version qui a toujours bien fonctionné, bien que je ne l'ai pas ajouté une web cam très utile pour le partage des résultats, tres recommandé en particulier pour le moindre fatiguement des jeux que l'on obtient regardant les sombrissements des ombres sur un écran , plutôt que directement à l'oeil nu; étant l'oeil dans ce cas également dans une position pas confortable et dérangé par des franges de diffraction.

(Cela m'est souvent arrivé avec les souhaitables et plus sensibles fentes fines bien alignées avec la lame, de voir franges de diffraction qui répliquent fictivement la vue du bord « tranchant » de la lame. qui, Il est maintenant reconnu, ne viennent pas détecté par la web cam.. Ainsi que, le suivi sur l'écran du test de foucault est plus rentable et reposant de le suivre à l'oeil nu).

COMMENT FONCTIONNE UN TESTEUR DE FOUCAULT.

Pour ceux qui ne connaissent pas encore, (d'autres peuvent sauter le sujet): Le testeur doit être placé à deux fois la distance focale du miroir en question (qui correspond au rayon de courbure de la surface réfléchissante), sur une table en face du miroir (que, étant donné la distances, il est souvent sur une autre table).

La distance de positionnement est mesurée à partir de l'évidement central du miroir (flèche) miroir, jusqu' au point où l'on doit se trouver la lame du testeur, bien aligné avec l'axe optique du miroir.

Pour l'alignement l'on doit allumer la LED et retirer la fente avant, afin de rendre bien traçables le cercle lumineux du LED, réflexi par le miroir en question. cerclet que, avec mouvements soit du miroir (sur son support réglable en inclinaison aussi), que du testeur, Il doit être porté à apparaître sur la face de la lame de couteau face au miroir, de telle sorte qu'en basculant plus ou moins le chariot qui porte la lame, elle peut intercepter (« Couper ») complètement, et libérer complètement, le cône de lumière provenant du miroir.

Note 1) Personnellement, je l'ai trouvé commode de mettre en ligne avec le déplacement du chariot, une niveau Led rouge, traçant une ligne verticale sur le sol - murs et le plafond en face de l'appareil d'essai pour bien centrer initialement le miroir (voir la dernière image sombre dan la galerie d'images). Le niveau de quelques euros, Il possède une base magnétique que j'attaque sur la plaque d'acier qui agit comme un ballast, placé au-dessus du chariot, et qui est bien aligné a la coulisse du testeur.

Note 2) Pour avoir une plus grande inertie, stabilité, et la facilité de réglage fin de l'alignement manuellement, Je mets le testeur sur une grande table qui devient la seule que je bouge. (Je l'ai connu qu'il est un système valide en le copiant à partir de la bande vidéo sur la mise en œuvre du 200F6 présent dans ce blog).

l'on met alors la fente en sa place avant la Led, puis on met l'oeil (ou bien d'un Web-Cam) dans un point un peu plus arriéré de l'endroit où il y avait le «cerclet » lumineux di Led, entre la source (qui doit être conventionnellement à notre gauche) et la lame de couteau (traditionnellement à notre droite). De cette position (et seulement de ce qui est déjà très proche du rayon central de courbure)  Nous voyons le miroir totalement éclairé par la lumière de la petite fente (autrement, dans des positions plus éloignées, nous verrons clair seulement que le contour flou de la fente).

NOTA3: Et cette illumination totale se produit juste parce que nous avons placé le testeur au double de la distance focale, où se trouve précisément le sommet du cône de réflexion venant du centre du miroir en question (zone 1), de sorte qu'il n'est pas plus nécessaire de déplacer l'appareil d'essai pour suivre les sommets des cônes des autres zones réflexees qui se déplacent progressivement de la première zone par une valeur égale au rayon de leur centre, au carré, et divisé par le rayon de courbure R, qu'il est le double de la distance focale.

Par extension de cet raisonnement, nous constatons que la différence des "tirages" qui mesurerons avec le testeur, Il est toujours légèrement inférieure à la rayon de miroir au carré, divisé par le rayon de courbure (deux fois la distance focale), comme le rayon de miroir est la limite maximale de nos mesures, tandis que dans la pratique, nous mesurerons tirages des zones dont le centre tombe sur un rayon inférieur au maximum du miroir. Et cela nous donne la longueur de la coulisse du chariot du testeur requis pour compléter l'évaluation de toutes zones , du centre vers le bord de notre miroir.

Exemple: Pour un miroir 200F6 , qui a un rayon miroir de 100 mm et longueur focale (200*6)= 1200mm, et donc double rayon de courbure (à savoir 2400mm);

L'excursion maximale du chariot testeur vaudraHm ^ 2 / R

Lorsque, dans le cas particulier Hm ^ 2 est le carré du rayon du miroir,

tandis que R est le double de la distance focale (2*1200)= 2400mm

Et l'excursion de deplacement maximale qui devrait faire le chariot a tournée, pour intercepter les cônes de lumière de toutes les zones, Il sera légèrement inférieure à la valeur obtenue en utilisant le rayon du miroir, à savoir:

(100^2)/2400mm = 4,16mm

tandis que pour un miroir hypothétique 500F5 l'excursion serait (250^2)/ 5000=12,5mm

Il est à noter, par conséquent, qu'une course de 25 mm du chariot du testeur, et donc du micromètre utilisé pour pousser le chariot, serait suffisantes pour construire des tres grands miroirs.

Fin de REMARQUE3.

Nous installons maintenant le masque Couder devant le miroir, qui nous montre les paires de fenêtres horizontales diamétral, chaque paire ouverte sur une couronne circulaire spécifique du miroir qui participe à la formation de la parabole réfléchissante.

Si maintenant nous vissons la vis du chariot supportant la lame du couteau , (l'inclinaison ou l'introduction de la lame qui vient classiquement de droite à gauche), nous verrons à un certain moment entrer la lame dans le cône de lumière, et par conséquent le miroir commencer s'assombrir dans la première paire de fenêtres appartenant à la zone centrale du miroir, mais l'ombre de la lame se déroulera en trois façons possibles, selon que la position actuelle du chariot de l'appareil d'essai se trouve AVANT, ou APRÈS, ou DANS le centre du rayon de courbure de la surface de miroir en cours d'examen.

Ce ci car,: Sachant que le miroir reflète un cône de lumière, on peut déjà bien imaginer que si l'on introduit la lame avec le testeur en un point du cône qui est AVANT LE VERTEX DU CÔNE MÊME, (on dirait en position intrafocale), nous verrons l'ombre procéder de droite à gauche, c'est-à-dire concordement avec le mouvement de la lame couteau. Parce que avec la lame, nous avons intercepté les rayons lumineux, AVANT qu'ils se croisent au sommet du cône.

Si, par contre, nous introduisons la lame dans un point qui se trouve AU-DELÀ DU VERTEX DU CÔNE, (nous dirions la position extrafocal ), nous verrons l'ombre procéder par opposition au mouvement réel de la lame, et viennent de gauche à droite, car avec la lame nous avons interceptès les rayons lumineux APRES qu'ils se croisaient au sommet du cône.

Enfin, si l'on introduit la lame au point qui est le sommet de la CONE, nous verrons la zone s'assombrir de façon uniforme concentrique, comme cela se produirait après la fermeture d'un hypothétique diaphragme circulaire . Tout cela vient de façon que nous permet pas d'apprécier si l'ombre est venue de la droite ou à gauche.

Le but du test Foucault est juste pour trouver le SOMMET DU CONE (qui est le centre de courbure du rayon de chacune zones des séries présentée par la masque de Couder. voir note 4), et noter les mesures lues sur le micromètres dites "Tirages" , en déplaçant le seul chariot di testeur en avant et en arrière avec la seule poussée de la vis du micromètre, et insérer et retirer la lame, sans absolument pas le moindre mouvement du testeur de sa position… peine l'annulation de toute la série de tests.

Dans la pratique, cet exercice consiste à rechercher des rayons de courbure progressive de la parabole, que par les tirages mesurè daans les différentes zones, et par des calculs appropriés, Ils se transforment en un graphique montrant OU la parabole est défectueux, et DE COMBIEN il est défectueux en nanomètres, permettant des corrections qui conduisent progressivement à la perfection optique.

 

NOTE 4: Rappelons que si nous nous plaçons notre fente – source de lumière, dans le centre de courbure d'un miroir au moment sphérique, ou un peu différente de la sphère, nous obtiendrons qu'elle reflèterà l'image de la fente sur elle-même, et donc inaccessible à l'œil.

Alors Foucault a décidé d'installer la source légèrement décalée du centre, pour rendre la réflexion accessible.

En fait, lorsque vous installez une source dans le centre de courbure d'une surface réfléchissante, vous obtenez l'image sur elle-même; et cela optiquement parlant est la contrepartie exacte du fait que si nous installons une source à l'infini, nous obtiendrons son image exactement au point focal.

Et ce léger décalage aujourd'hui est encore réduit à environ 10 mm à l'aide d'une LED, qui a un très petit diamètre par rapport à celui d'une lampe de phare de voiture utilisée par le Texereau.

Pour l'intuition on peut comprendre que ce changement introduit une erreur de mesure appelée astigmatisme. Mais sa taille était déjà indétectable, et donc négligeable quand il faisait 30-35mm, en raison de l'utilisation d'une lampe de phare de voiture, alors qu'aujourd'hui c'est encore plus négligeable avec l'utilisation de la petite LED.

Et’ Il est intéressant de souligner que cette negligeabilitè est valable pour les objectifs dont le rapport focal est égal ou supérieur à F5, pour lequel le test de Foucault convient. Tandis que pour des distances focales plus courtes, la distance de séparation entre la source et la lame du couteau, pourrait introduire de l'astigmatisme, forcer l'utilisation d'un testeur “Sans fente” c'est-à-dire avec la lame du couteau dans l'axe de la fente, ce qui nécessite une formation spéciale.

CE TESTEUR A SEULEMENT DEUX MISES À JOUR TECHNOLOGIQUES EN CE QUI CONCERNE À L'ORIGINAL:

La construction décrite dans le présent texte, Il est compatible avec le travail montré, à l'exception des variantes technologiques minimales disponibles aujourd'hui, qui n'étaient pas au moment de l'édition du livre.

  1. L'utilisation d'une source de lumière LED , au lieu d'une ampoule phare de voiture , e..

2) L'UTILISATION D'UN PALMER MICROMETER au centième de millimètre de précision, Au lieu d'utiliser une tige filetée M6 hauteur de 1mm, manœuvré avec un disque en bois rigide dont la circonférence est recouverte par une bande de papier avec 10 divisions. Cela a permis à la Texereau lire le dixième de millimètre… En outre mesure déjà suffisamment précise et utile dans le but.

micromètres numériques modernes, Type Palmer, sont aujour d'hui facilement achetables pour peu d'argent, sur des étals d'occasion ou de ferraille, à cause de la rupture fréquente du seul affichage numérique. Mais ces instruments conservent intègre la partie mécanique de la précision micrométrique, facilement recyclé dans le testeur Foucault.

Le diamètre de 5 mm Led commerciale, Il permet de réduire jusqu'à 10 mm seulement la distance entre la lame de couteau de Foucault et la fente qui agit comme une source de lumière de l'appareil d'essai.

POUQUOI’ Et’ UTILE UNE FENTE AU LIEU D'UN TROU SPTENOPÉ:

Le terme « source » est également utilisé en physique pour indiquer un trou, à travers laquelle le rayonnement lumineux, ( ce qui peut se produire d'une manière double, à la fois sous la forme de particules de photons, qui aussi dans la forme d'onde), Il présente le phénomène de diffraction, qui se produit lorsque l'onde se forme et devient visible son comportement ondulaatoir.

Les effets de diffraction sont détectables avec la «tache de diffraction » formé par un point lumineux central entouré par des anneaux alternativement claires et sombres, en raison de l'addition (lumière) ou du retrait (sombre) des phases des ondes lumineux au passage dans l'obstacle (petit trou), lorsque la longueur d'onde de la lumière est comparable à la taille du trou.

Une large fissure de 10 a 20 Micron , remplace admirablement le sténopé du même diamètre, en préservant intégralement la fonction physique, mais en offrant a l'œil humain une vision bien plus claire avec son extension en hauteur de 5 mm.

POUQUOI’ IMPOSSIBLE’ UTILISER UNE SOURCE PLUS’ GRANDE:

Dans les mesures de qualité optique, Il sert à corriger les défauts de sorte que l'onde réfléchie ne soit pas endommagé pendant plus d'un quart de sa longueur d'onde (Lambda / 4), de la lumière que l'œil humain est plus sensible (68,75 millionièmes de millimètre) c'est car l'on doit utiliser une source de poitiformitè maximale (phisiquemente equivalente à la largeur d'une fente) , afin d'obtenir des valeurs des mesures qui seront ramenés, avec le calcul,, par rapport à cette valeur de référence, et exprimé par la fraction « Lambda / n », qui présenterait la meilleure qualité optique, comme est plus grand le dénominateur n.

POUQUOI’ Et’ BON UNE LED DIAMÈTRE 5MM.

Une Led plus petite de 5 mm ne serait pas utile, car elle pénaliserait inutilement la vision de l'élève humain moyenne, qui est large de 5 mm.

PIECES DU TESTEUR

Sont:

  • Une plaque de base du testeur (voir l'image 1) de contreplaqué de 30x20cm avec une épaisseur de 15 mm,
  • chariot (voir l'image 2) 21x13cm en bois comme ci-dessus, qui peut effectuer une course vers l'avant - 35 mm de long, rampant sur deux patins en forme de V inversé en contact avec le tube de laiton comme piste, Le chariot est incliné avec un pointage de bouton à vis M6 glissant sur une plaquette de verre plain, collé avec ruban adhésif double face sur la base du testeur. le bouton, vissage de la vis amène le chariot à faire un arc, se penchant vers la source, afin d'intercepter les rayons lumineux provenant du miroir en examen;
  • Une colonne en latte de bois de section carrée 25x25x130mm soutient le couteau de Foucault, fixé avec du ruban adhésif sur une plaque de support avec une seule vis centrale qui permet d'orienter et d'aligner parfaitement à l'image de la fente avant chaque essai. L'alignement se fait en mettant une loupe à la place de l'œil de l'observateur, à travers lequel vous verrez l'image de la fente non visible à l'oeil nu, qui se superpose à l'image de la lame du couteau à être orienté de sorte que son mouvement, éteinte d'un coup toute l'étendue verticale de la fente. La lame de couteau peut bien être une lame de rasoir, mais il est nécessaire, redresser son bord coupant le frottant avec quelque passé sur un verre plat. En effet, l'affûtage des lames, et de toutes les lames en générale, Il présente des ondulations sur le profil coupant de la lame, dont ils sont sources de mauvaises interférence et devraient être nivelées).
  • Une colonne comme ci-dessus dans une bande de section carrée 25x25x200mm en tant que support de source led et de la fente,
  • 2 morceaux de corniere aluminium 40x40x4mm de 60 mm de long, pour les deux en-têtes du "binaire" de coulissement du chariot, avec un trou siege pour la fixation du micromètre Palmer.
  • Une piste de glissement du chariot, constitué d'une longue tige filetée M6 32cm, couvert par un tuyot en laiton pour les rideaux domestiques, long 29cm.
  • Une découpe de verre plat 120x30x4mm sur laquelle glisserait la vis d'inclinaison du chariot va être collée à la base de l'appareil d'essai à ruba double face adesif.
  • Et’ Est utile comme leste du cariot, un morceau de plat en fer d'environ 1 kg allant être fixé au-dessus du chariot en vue d'assurer sa stabilité et inertie.
  • Sous le chariot est accroché un caoutchouc élastique fixé à l'autre extrémité à la base du testeur, pour assurer un tir continu qui maintierraitt a zéro le jeu entre chariot et micromètre poussoir.
  • A la pointe du micromètre, il est fixé avec un morceau de tube thermorétractable, une petite bille d'acier qui évite d'induire un mouvement de rotation involontaire dans le chariot pendant la rotation du Palmer.
  • La fente est formée par une base support en aluminium 5x5cm avec un trou de 5 mm de diamètre placé en face de la LED, aussì de 5mm de diametre, devant laquelle vous pouvez placer deux demi-lames de rasoir avec les coupants rectifié comme précédemment déjà mentionné, par un frottement sur un plat verre, à perdre l'affûtage (qu'Il ne sert pas) et gagnand un bord de profil uniformement rectiligne.
  • Les lames de rasoir (ou deux demi-lames) l'on peut le fixer avec les bords de coupe faisant face, pour former la fente verticale, collant-le avec ruban bi-adesif, et en insérant entre eux, comme voulu precis réglage d'espacement , un morceau de ruban bande magnetique de video-cassette VHS, (simple pour 10 Micron , ou plié en deux pour 20 Micron ), de toute évidence à enlever une fois fixe.
  • Ils sont preferables les Leds moderne qui sont plus lumineux de ceux du passé, cependant pas de couleur rouge fatigante.

cependant pas de couleur rouge fatigante, cependant pas de couleur rouge fatigante, cependant pas de couleur rouge fatigante.

cependant pas de couleur rouge fatigante: cependant pas de couleur rouge fatigante 1,8 volt; cependant pas de couleur rouge fatigante; cependant pas de couleur rouge fatigante, de 3,5 volt, cependant pas de couleur rouge fatigante 15 ou 20 milliampères (cependant pas de couleur rouge fatigante 30 cependant pas de couleur rouge fatigante).

cependant pas de couleur rouge fatigante 1,5 cependant pas de couleur rouge fatigante 3 cependant pas de couleur rouge fatigante, cependant pas de couleur rouge fatigante, cependant pas de couleur rouge fatigante 4,5 volt, cependant pas de couleur rouge fatigante 4,5 volt, cependant pas de couleur rouge fatigante (et la luminosité) à la valeur souhaitée entre la 10 et les 20 milliampères (0,01 e 0.02 Amper).

cependant pas de couleur rouge fatigante 20 milliampères (c'est-à-dire 0,02 Amper)  cependant pas de couleur rouge fatigante, c'est calculé c'est calculé 1,5 volts dépassant les 3 c'est calculé, c'est calculé 4,5 c'est calculé, de la manière suivante:

la tension de la batterie - moins - tension pour la Led (4,5- 3)= 1,5 volts à dissiper.

Puis, avec la loi de Ohm R = V / I(à savoir Résistance [en Ohm] = tension [en Volt] / courant I [en Amper])Le calcul est R = (1,5/0,02) = 75 Ohm.

c'est calculé, c'est calculé, c'est-à-dire (1,5 *0.02)= 0,03 c'est calculé 1/8 c'est calculé

Voulant limiter la luminosité des LEDs, eclairad les avec 15 milliampères au lieu de 20, la résistance deviendrait de (1,5/0,015) = 100 Ohm.

(c'est calculé, c'est calculé, c'est calculé (c'est calculé), c'est calculé, ajouté au précédent, il pourra régler l'intensité lumineuse de ce maximum à zéro).

Dans certains cas, la jonction de la diode électroluminescente, Il peut être visible comme une tache sombre sur le miroir. Il vaut donc la peine de rendre satinée la petite tête sphérique de la Led , frottand.la sur un peu d'abrasif de 500 ou 800 Grit.

Ces images rendent une meilleure idée de toute l'installation

 

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